Pourquoi des personnes très performantes et dotées d’un potentiel sans bornes renoncent-elles parfois à prendre des décisions cruciales ? Cela s’explique par une constellation de phénomènes, mais il y a souvent un phénomène psychologique qui nous incite toutes et tous à éviter les décisions les plus importantes : la peur d’avoir à les regretter.

La semaine dernière, j’ai traité un problème fréquent : la personne qui pense qu’elle réussit pour une raison X, quand en réalité c’est pour la raison Y.  Cette semaine, je me focaliserai sur un phénomène similaire : la personne qui réussit tôt dans sa carrière et qui continue à fonctionner de la même manière tandis qu’elle grimpe les échelons de son organisation.

Souvent, on pense qu’on réussi pour la raison X, alors qu’en réalité c’est grâce à une raison Y. Le succès peut être de très courte durée si on ne sait pas exactement pourquoi on réussit. Ces raisons peuvent changer au fil du temps, surtout lorsqu’on évolue dans sa carrière.

Parfois, quand on atteint un palier professionnel qu’on n’arrive pas à franchir, c’est une sorte de signal d’alarme. Cette semaine, je vous mettrai en garde contre une cause de stagnation professionnelle qui reste minoritaire mais qui devient malheureusement de plus en plus fréquente : l’épuisement professionnel, communément connu sous le terme anglais de burn-out.

Dans le prolongement d’une série d’articles sur la stagnation professionnelle, cette semaine je me focaliserai sur le socle de l’avancement professionnel : la motivation. Sans elle, il est difficile de rester à son poste actuel et quasiment impossible de progresser.

La stagnation est un phénomène qui concerne tout le monde mais qui frappe de façon particulièrement dure les personnes qui ont connu une progression rapide en début de carrière.

La peur du jugement d’autrui est à la fois cause et symptôme d’un manque de confiance en soi. Dans cet article, qui fait partie d’une série sur la confiance en soi, j’explorerai l’origine et l’impact de cette peur, et montrerai un moyen efficace de la combattre.

Bien que cela puisse sembler paradoxal — surtout parce que les mythes sur les personnes qui ont réussi “toutes seules” sont légion, — il y a plusieurs raisons pour lesquelles une demande d’aide est un marqueur de puissance.

Le travail de la professeure de psychologie renommée Carol Dweck nous permet de mieux comprendre une des racines principales d’un manque de confiance en soi. J’examine une de ses théories célèbres et explique comment celle-ci peut vous aider.

Le problème de la confiance est très complexe, et la cause est différente pour chacun·e ; c’est pourquoi je reviendrai sur ce thème à l’avenir. Je commence par examiner le coût de tous ces doutes.

L’histoire de Kati Karikó, grâce à qui les vaccins ARN messager qui ont changé la donne de la pandémie de COVID-19 ont vu le jour, montre que la réussite professionnelle et une bonne qualité de vie ne sont pas des objectifs contradictoires : en réalité, elles sont le fruit des mêmes habitudes.

Quand une personne est convaincue que son emploi a du sens, sa performance s’accroît de 33%. En d’autres termes, si notre travail est en accord avec nos valeurs, cela peut être équivalent au fait de gagner plus d’une journée et demi supplémentaire chaque semaine.

Il est aisé de se convaincre qu’on travaille de la façon la plus efficace possible, surtout si c’est à un poste ou à une fonction occupés depuis longtemps. Néanmoins, il est dangereux de tomber dans ce piège.

Nombreux sont ceux et celles qui connaissent un amateur de la microgestion dans leur hiérarchie.

Que faire si vous en êtes victime ?

Vous avez plus de contrôle sur vos émotions que vous ne le pensez.

Ce qui rend une vie personnelle épanouie difficile à atteindre n’est pas uniquement la quantité d'heures qui y sont consacrées, mais la qualité de celles-ci. Pour beaucoup de personnes, il s’agit d’assurer que l’on ne laisse pas les soucis professionnels polluer son précieux temps libre.

Ce à quoi on était très attaché·e il y a dix ans n’occupe pas forcément une place importante dans notre vie aujourd’hui, et en occupera encore moins dix ans dans l’avenir. La bonne nouvelle : tout comme nous évoluons, les postes que l’on occupe le font aussi.

Dans le cadre d’une série de discussions avec des avocat.e.s qui ont réussi à trouver une activité professionnelle qui leur permet de s’épanouir (d’autres postes disponibles sur la version anglaise du site), j’ai parlé avec une avocate qui est actuellement Counsel dans un cabinet international.